Il existe plusieurs système de ventouses : les sèches et les humides (avec incision).
Ici, nous n’allons parler que des sèches.
Il y a les ventouses en verre qu’utilisaient nos grands parents et arrière grands parents quand ils avaient une bronchite. Ils allumaient un coton dans le verre qui faisait la dépression et permettait au vide de se faire.
De mon côté, j’utilise comme vous pouvez le voir sur la vidéo des ventouse en plastique (étant donné que je les fais tombé souvent, c’est mieux…) et avec une sorte de grosse seringue pour pouvoir aspirer l’air et faire la dépression. J’en ai quelques unes aussi en silicone.
L’avantage est que ça permet de doser l’aspiration en fonction de vos ressentis et des miens.
L’inconvénient est qu’il n’y a pas la chaleur.
L’utilisation des ventouses a des milliers d’années. Elle est retrouvée sur certains hiéroglyphes en Égypte… Hippocrate, père de la médecine, en parle lui même.
Comment ça marche ?
C’est la dépression créée par l’aspiration qui permet l’efficacité. En effet, les tissus vont être aspirés par la ventouse. Cela va attirer les toxines pathogènes et permettre au corps de s’en libérer. C’est l’action purement mécanique.
Il y a également une action énergétique : les énergies stagnantes vont également être attirées et donc libérées.
Le tout va permettre de redonner au corps sa mobilité en détendant les muscles, libérant les fascias et la peau et de lutter contre les inflammations.
Les ventouses en silicone peuvent être utilisées pour mobiliser la peau, accompagnées ou non de palpé roulé, et de libérer la cellulite.
Quelques contre-indications :
Hémophilie ou prise anticoagulants pas encore stabilisé
insuffisance cardiaque et cardiopathie sévère.
Plaies ou ulcères chroniques.
Phlébites
Tumeur malignes
Enfant de moins de 4 ans.
Ventre de la femme enceinte.
Ça vous tente ?
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